La fille de Brest : un film à voir absolument (si ce n’est déjà fait)

Je viens de regarder en VOD le film «La fille de Brest» qui raconte le combat de la pneumologue Irène Frachon contre les graves effets secondaires occasionnés par le médicament Mediator des laboratoires Servier, à la base médicament antidiabétique (même pas efficace, en plus!) mais souvent prescrit comme coupe-faim (ceci, bien sûr, hors AMM…).

Monsanto travaille pour notre santé. Exactement comme les labos pharmaceutiques ???

Une nouvelle information commence à faire du bruit : suite à une « class action », la justice fédérale américaine a déclassifié, jeudi 16 mars, plus de 250 pages de correspondance interne de la firme agrochimique, montrant que cette dernière s’inquiétait sérieusement, dès 1999, du potentiel mutagène du glyphosate, principe actif de son produit phare, le Roundup, et molécule phytosanitaire la plus utilisée au monde. Le pire étant que la veille même, l’Agence européenne des produits chimiques (ECHA) annonçait qu’elle ne considérait le glyphosate ni comme cancérogène ni même mutagène – c’est-à-dire capable d’engendrer des mutations génétiques.

A lire sur l’excellent magazine Basta une interview d’Irène Frachon !

Le magazine Basta dont la qualité et l’indépendance ne sont plus à démontrer (j’en profite pour leur faire un peu de pub : si vous voulez soutenir financièrement Basta,c’est le moment. Ils en valent vraiment la peine !) a réalisé une interview D’Irène Frachon à propos de l’affaire du Médiator. Elle y relate les manœuvres retors … Lire la suite

Polémique sur les anticholestérols : « Une assertion contre 70 ans d’évidences », dénonce Sanofi

Elias Zerhouni, président de la R et D chez Sanofi, s’élève contre le documentaire « Cholestérol : le grand bluff » diffusé mardi 18 octobre 2016 sur Arté. D’après lui C’est une assertion qui va à l’encontre de 70 ans d’évidences. C’est très clair dans l’esprit de tout le monde qu’il y a une corrélation … Lire la suite

La première action de groupe en France en relation avec un scandale sanitaire visera Sanofi et son médicament Dépakine

Dès la parution au Journal officiel du décret ouvrant cette possibilité, l’association des victimes Apesac et ses avocats ont fait savoir qu’ils lançaient une procédure, dans un premier temps avec une quinzaine de dossiers. Si l’action est jugée recevable et la responsabilité de Sanofi mise en cause, toutes les autres victimes pourront s’y associer. Sanofi … Lire la suite