Ah, ces labos… Quelle bande de joyeux lurons tout de même…
Le procès concernant la Dépakine continu son bonhomme de chemin avec la mise en examen lundi 3 février de Sanofi pour « tromperie aggravée » et « blessures involontaires ». Responsabilités que Sanofi nie toujours malgré les preuves formelles des dégâts provoqués par la Dépakine chez le fœtus pour les femmes enceintes : malformations congénitales … Lire la suite