Rapport risque/bénéfice des vaccins COVID19, nous prendrait-on pour des brêles ?

Je reviens sur ce fameux rapport risque/bénéfice des vaccins. Pour ce faire, je me suis référé à l’étude du vaccin Ad26.COV2.S de Johnson & Johnson qui accrédite ce dernier d’une efficacité de 66 % (28 jours après l’injection), quant aux événements thromboemboliques veineux, ceux-ci n’étant de 0,04 %, ils ne remettraient donc pas en cause le rapport … Lire la suite

Eh bien non, le Clopidrogel n’est toujours pas mort et enterré !

Jusqu’à présent, aucune étude n’avait pu déterminer un davantage décisif à remplacer ce bon vieux Clopidrogel par des antiagrégants plus récent (Prasugrel, Ticagrelor). En gros, ces nouveaux produits sont légèrement plus efficaces sur les thromboses, hélas au prix d’une augmentation des saignements hémorragiques (parfois mortels…). Ils sont surtout, business oblige, commercialisés entre 3 et 5 … Lire la suite

Le CAC est associé au risque de mortalité cardiovasculaire, et les statines augmentent celui-ci. Allez comprendre !

Une étude qui vient de paraître1 confirmerait la relation entre score calcique (CAC) et risque de mortalité cardiovasculaire, ce qui avait déjà été évoqué dans plusieurs autres études2. En vertu de quoi certaines sociétés savantes ont établi les recommandations suivantes3 : CAC égal 0 => pas de traitement CAC entre 1 et 99 => statine si … Lire la suite

COVID-19 : un point sur traitements et vaccins et les % relatif/absolus dans les essais cliniques

Je suis régulièrement les Bulletins d’Informations de Pharmacologie (BIP31) publiés par le Service de Pharmacologie Clinique et le Centre Midi-Pyrénées de PharmacoVigilance, de Pharmacoépidémiologie et d’Information sur le Médicament (CRPV) du CHU et de la Faculté de Médecine de Toulouse. En effet celui-ci aborde des sujets divers avec pertinence et impartialité d’après ce que j’ai … Lire la suite

Cholestérol et maladies cardiovasculaires : ça se complique…

Jusqu’à présent, les choses étaient claires : le cholestérol LDL était « la » cause des maladies cardiovasculaires et il fallait le faire baisser au plus bas, jusqu’à atteindre des taux indécents (et surtout nocifs pour la santé), les dernières normes faisant état d’un taux souhaité inférieur à 0,7 g/l (1,8 mmol/l). Bien que les divers essais clinique … Lire la suite