Et si les maladies cardiovasculaires n’étaient pas dues au cholestérol ?

Paul Ridker, vous connaissez ? Mais si, c’est le principal instigateur de la très controversée étude « JUPITER » et, en outre, celui qui est plus que grassement rémunéré par tous les labos de la planète produisant des statines afin de promouvoir celles-ci. Eh bien ce monsieur nous revient avec une nouvelle étude (CANTOS) chargé de démontrer que … Lire la suite

La France néglige les effets secondaire des médicaments

C’est le constat effectué par cette étude initiée en 2015 mais parue fin 2016 : « Healthcare Access and Quality Index based on mortality from causes amenable to personal health care in 195 countries and territories, 1990–2015: a novel analysis from the Global Burden of Disease Study 2015 » qui compare les systèmes de santé de 195 pays et régions grâce à un indice : le HAQ (Health Quality and Access). Celui-ci est basé sur une analyse de la mortalité évitable et va de 0 à 100.

Ce cardiologue est… comment dire… un parfait abruti. Et encore je suis poli !

Un monsieur dont j’ai fait connaissance depuis peu (et oui, là où je m’entraîne, je suis le confident de tous les problèmes de statines, de cholestérol, etc.) m’a raconté l’anecdote suivante : à la suite de problèmes cardiovasculaires ayant imposé la mise en place de stents, il s’est vu prescrire bien évidemment des statines. Hélas pour lui, celles-ci lui ont provoqué non seulement douleurs et crampes, mais aussi une faiblesse musculaire au niveau des membres inférieurs à un point tel qu’il lui arrivait régulièrement de s’écrouler en pleine rue, ses jambes ne le supportant plus.

Patients, patientes, on vous ment… ou l’art de maximiser les bénéfices et de minimiser les effets secondaires d’un produit !

Je viens de détailler une étude sur la canagliflozine (Invokana, Janssen Pharmaceuticals) censée réduire les maladies cardiovasculaires chez les diabétiques de type 2. Nous n’épiloguerons pas sur le fait que les statines (environ 75% des patients de l’étude étaient sous statines), provoquent du diabète chez environs 5% des individus sains ainsi qu’une aggravation de celui-ci chez les patients déjà diabétiques pour nous arrêter sur les magnifiques résultats cette étude dont les auteurs de l’étude annoncent une réduction de 14% des évènements cardiovasculaires ainsi qu’une réduction de 40% du déclin de la fonction rénale.