Vaccin contre la Covid-19 : encore une mauvaise nouvelle

Les mauvaises nouvelles à propos des vaccins contre la Covid-19 ont tendance à pleuvoir depuis quelque temps…

Il y a eu ces rapports démontrant une corrélation indéniable entre la hausse de la surmortalité constatée en 2021 et 2022 et l’augmentation des vaccinations contre la Covid-191, puis le rapport de la commission du Congrès des États-Unis sur la pandémie de Covid-192 qui remet les pendules à l’heure sur bien des sujets (mensonges ?) qui fâchent.

Bizarrement, aucun de ces rapports n’a fait l’objet de la moindre ligne dans nos médias nationaux, contrairement au très élogieux rapport de l’Institut Pasteur3 qui est qu’un panégyrique à la gloire de l’Europe. Idem celui concernant celui l’enquête de la gestion de la crise par nos dirigeants4.

Circulez, il n’y a rien à voir…

Pour ce qui est de la mauvaise nouvelle, depuis quelque temps, plusieurs études s’étaient fait l’écho d’un taux alarmant des niveaux d’ADN résiduel dans les vaccins ARNm COVID-19 de Pfizer et Moderna5 ou 6.

Bien évidemment, toutes ces objections avaient été balayées par la FDA7.

Manque de chance, ceci vient d’être confirmé par une étude française récente, publiée par Didier Raoult, qui dénonce les mêmes problèmes8.

Mais surtout, une autre étude, menée par des chercheurs étudiants sous la supervision de scientifiques de la FDA, a relevé une contamination de l’ADN résiduel bien supérieure aux seuils autorisés, ceux-ci dépassant les limites de sécurité réglementaires de 6 à 470 fois. Certains spécialistes soulignant même que les méthodes d’étude pourraient avoir sous-estimé les niveaux de contamination9 !

Bien sûr, la FDA, complètement corrompue et vendue aux labos, fait la sourde oreille alors que cette dernière a fourni les matériaux pour l’étude et a prodigué des conseils techniques par le biais de la supervision du personnel. Celle-ci va même jusqu’à renier l’implication de trois de ses propres scientifiques – le Dr Shuliang Liu, le Dr Tony Wang et le Dr Prabhuanand Selvaraj – qui ont supervisé les étudiants menant l’étude10.

Pour info, cette contamination par de l’ADN résiduel serait susceptible de favoriser l’apparition ou la récidive de cancers, ce qui pourrait expliquer l’apparition de ces turbo-cancers que l’on a jusqu’à présent totalement occulté11.

Exactement comme les institutions médicales et les gouvernements avaient étouffé à l’époque les myocardites, les péricardites, les saignements menstruels abondant chez les femmes, etc.

Comme je le disais dans un précédent article, les complotistes d’hier seront les lanceurs de demain…

 

 

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