Pass-vaccinal, les membres du gouvernement sont vraiment des petits joueurs !

En informatique, le vendredi, c’est trolldi (on se relâche sur la netiquette et le troll est permis…). Vous voilà donc prévenu sur le contenu de cet article qui sera surtout un billet d’humeur (voire de mauvaise humeur !).
Un de plus, me direz-vous. Je m’interroge donc, deviendrais-je aigri ces derniers temps ?

Bref, je tenais à vous parler du pass-vaccinal.
Oui, vraiment, les membres de notre gouvernement ne sont que des p’tits bras, des losers, des nullards, des minables.
Je vous explique : pourquoi ne pas étendre le pass-vaccinal à d’autres choses que le Covid ?
N’oublions pas qu’une majorité de Français¹ ayant adhéré joyeusement au pass-sanitaire, trouvant tout à fait normal que pouvoir simplement boire un café en terrasse soit conditionné à l’autorisation ou non du gouvernement, ceci sur des critères totalement subjectifs, mais surtout pas sanitaire, il serait réellement dommage que le gouvernement se prive de cet excellent moyen de coercition.
Tiens, par exemple, pourquoi ne pas y ajouter la vaccination contre la grippe. Celle-ci étant responsable de plus de 20 000 morts par ans (enfin, selon le gouvernement et les médias, parce que selon les études sérieuses, ce serait plutôt aux alentours de 500²…), inclure la vaccination contre la grippe permettrait de protéger les personnes vaccinées des criminels en puissance que sont les non-vaccinés (exactement comme pour le Covid…).

Mais il serait aussi possible d’envisager les extensions suivantes :

• Le pass-cholestérol : Les maladies cardiovasculaires sont responsables en France de 140 000 décès³ dus (d’après les labos…) à un excès de cholestérol. Toute personne ayant un taux de cholestérol un peu trop élevé selon les normes édictées par ces mêmes labos se verrait interdite de tout loisir jusqu’à ce que, à coup de statines, ézétimibe ou autres saloperies, son taux atteigne un niveau décent compatible avec les profits que comptent réaliser ces mêmes labos commercialisant ces médicaments.
• Le pass-diabète : de la même façon, toute personne dont le diabète dépasse un certain seuil (défini lui aussi par les labos) sera assujetti au pass-diabète, donc privé de sorties et sera en plus tenu de faire baisser celui-ci et, bien entendu, de prendre aussi des statines (qui aggraveront son diabète, mais ce n’est pas grave, tout le monde s’en fout !).

Dans la même veine, On pourrait aussi y ajouter :

• Le pass-alcool
• Le pass-tabac
• Le pass-permis (de conduire) : toute personne ayant perdu ne serait-ce qu’un point sur son permis n’aurait plus le droit de conduire le week-end, ni de prendre l’autoroute jusqu’à récupération complète de ses points
• Le pass-sport : la sédentarité étant responsable de 50 000 morts en France par an⁴, toute personne ne pouvant pas justifier d’une certaine quantité d’activité sportive journalière (votre smartphone à largement les moyens de vous tracer…), l’heure du déjeuner du midi sera remplacée par une heure obligatoire de course à pied.
• Liste non exhaustive…

Et finalement, pourquoi ne pas remplacer tous ces pass-quelque chose par un pass unique qui pourrait, par exemple, prendre le nom de « pass-partout ». Celui-ci comporterait diverses restrictions qui pourraient être très facilement être modifiées aléatoirement au rythme des envies ou des besoins du gouvernement.
Une manif en vue, hop ! seuls les personnes encartées au parti en place pourraient avoir l’autorisation de sortir. Vous avez posté sur un réseau social un texte complotiste parce que contraire à la doxa prônée par le gouvernement, hop ! Privé d’internet. Et je suis sûr que l’on pourrait y trouver plein de nouvelles opportunités à y ajouter…
J’en vois qui rigolent…
Certes, tout ceci peut paraître surréaliste, mais une fois que l’on a lu ce rapport du Sénat qui glorifie la gestion de la crise à la chinoise et propose de l’appliquer à la population française, le rire devient forcément beaucoup plus crispé⁵.
Et d’autant plus lorsque l’on sait que la Commission Européenne, sous la pression de sociétés comme Thales ou Atos (entre autres…), vient d’acter la mise en place d’un « Digital Identity Wallet » (portefeuille d’identité numérique) qui permettra peu ou prou les mêmes restrictions que celles citées ci-dessus⁶. Et que d’ici septembre 2022, les États membres devront en avoir établi les procédures techniques pour lancer des expériences pilotes.
Ce projet est donc plus que sérieusement en voie de devenir réalité et la liberté elle-même appelée à disparaître, ou du moins à se retrouver sérieusement restreinte, au gré du bon vouloir des gouvernements !

Mais puisque l’on vous dit que c’est pour votre bien…