A peine promu, le voici qui se lâche.
- À propos de la gestion du coronavirus par la Chine : «
Je ne suis pas sûr qu’il serait possible de réaliser ça dans un pays où les réseaux sociaux seraient ouverts
». C’est sûr qu’avec une bonne dictature, ça va beaucoup mieux (ce qui n’est d’ailleurs aucunement avéré1…). Ainsi aucune critique, aucune contradiction permises, seule la divine parole fait foi. Même ce site ne pourrait peut-être plus exister car ne diffusant que de fausses informations (du point de vue des labos et selon la parole divine…). 19842 arrive à grand pas… - À propos du malaise dans les hôpitaux :«
Je veux d’abord organiser une très grande consultation du plus grand nombre d’acteurs, je veux pouvoir poser la question à chaque médecin, à chaque aide-soignant, à chaque brancardier, à chaque directeur de pôle afin d’obtenir un diagnostic précis3
». Il est vrai que le malaise du personnel soignant des hôpitaux est récent, les causes n’en sont absolument pas connues et il fut impérativement lancer une grande consultation nationale qui va demander des mois et coûter un « pognon de dingue ».
Mais c’est qu’il serait capable de nous faire une connerie à la seconde, celui-là…
1 France Inter : S’il faut des mesures fortes pour contrôler une épidémie dans un pays aussi peuplé, le pouvoir chinois s’oppose aux appels à plus de liberté d’expression qui ont suivi la mort du lanceur d’alerte de Wuhan.
2 Wikipedia : 1984 (roman)
3 France Info : Hôpitaux : « Je n’ai pas peur de dire qu’il faut rouvrir des lits », affirme Olivier Véran