À voir les nouvelles consignes concernant la vaccination contre le Covid, tout cela me donne comme l’impression d’une surenchère dans la folie de la part de tous les pays et de leurs gouvernements.
La France n’y coupant pas, comme le laisse présager la dernière annonce de notre premier ministre1.
Effectivement, un projet de loi sera présenté le 5 janvier en Conseil des ministres afin de transformer le sulfureux « pass sanitaire » en non moins sulfureux « pass vaccinal ». Autrement dit, en dehors du vaccin, point de salut.
Les tests PCR ou autres ne seront plus pris en compte pour aller au restaurant, au ciné, dans les musés, etc. (reste la question, pour l’instant en suspens, des transports et des consultations à l’hôpital…) ; idem pour les personnes ayant attrapé le Covid qui devront quand même faire une piqûre de rappel. En d’autres mots, vous êtes vaccinés mais contagieux et vous pourrez vous mélanger à d’autres personnes, alors que non-vacciné mais testé négatif vous ne le pourrez plus…
Il ne faut surtout pas chercher une quelconque logique à cette décision, à part compenser le peu d’efficacité des vaccins par une ostracisation encore plus forte des non-vaccinés.
Au vu de ces décisions, nous pouvons sereinement envisager une prochaine étape qui sera l’interdiction de sortie pure et simple des non-vaccinés, même pour les besoins les plus élémentaires (nourriture, soins…) avec contrôle par bracelet électronique ? À moins que ce ne soit les camps d’internements ou directement la prison sans passer par la case départ ? Au point où en est la folie, on peut tout envisager, d’autant que certaines personnalités politiques ont déjà maintes fois évoqué ces éventualités.
La deuxième annonce étant que le délai entre 2 rappels devra être réduit à 4 mois. Et ensuite 3 mois, puis 2 et pour finir avec un vaccin en perfusion continue ? Tout ça pour un produit qui, je le répète, est toujours en phase 3, donc expérimental. N’en déplaise aux pisse-vinaigre qui arguent que celui-ci est ultra-surveillé par la pharmacovigilance française dont, hélas, l’état de déliquescence ne rassure absolument pas (il n’y a qu’a voir la différence de remontées entre notre pharmacovigilance à la française et le système VAERS aux États-Unis…) ; sans compter que celle-ci dépend de l’ANSM dont plusieurs évènements passés (Mediator, Levothirox, Depakine, etc) ont démontré un fort niveau de laxisme, de compromission et de dépendance aux labos.
Mon côté optimiste me pousse à espérer un sursaut de dignité de la part des députés afin de contrer ce texte de loi inique mais hélas, les précédentes expériences démontrent qu’il est quasiment certain que ce texte sera voté en douce, sur le coup des 2 heures du matin, par une poignée de députés totalement soumis à la cause du gouvernement.
Les autres se contentant dès le lendemain de pousser des cris d’orfraies, comme quoi ils étaient contre, mais qu’ils ont préféré rester chez eux, qu’ils se sont abstenus, qu’ils avaient piscine ou autre excuse bidon (biffer les mentions inutiles…) !
Clairement, notre monde et ceux qui le dirigent sont en train de sombrer dans la folie…
La politique est le moyen pour des hommes sans principes de diriger des hommes sans mémoire (Voltaire)
Encore une fois, merci pour vos articles, qui me confortent dans mes interrogations, et de plus en plus mon effarement, devant les messages officiels et les dernières mesures gouvernementales.