COVID-19 : Effets secondaires des vaccins, plusieurs rapports très inquiétants…

Il existe actuellement une omerta concernant les effets secondaires des vaccins contre le Covid-19. Non seulement il ne faut surtout pas en parler sous peine d’être immédiatement classé comme complotiste ou antivaxx (voire les deux…), mais ceux-ci sont systématiquement minimisés, quand ils ne sont tout simplement pas occultés1.

Je viens de lire trois rapports faisant un état des lieux des effets secondaire actuels et futurs des vaccins contre le Covid-19 qui remettent sérieusement en cause le dogme prôné par les gouvernements aux ordres des industries pharmaceutiques.

Parmi les auteurs des deux premiers rapports figure Stephanie Seneff, notamment connu pour ses nombreuses publications sur les dangers du glyphosate2. Publications qui lui ont valu d’être bien évidemment classé comme vilaine complotiste, puisque dérangeant certaines industries toutes-puissantes. J’avais aussi évoqué deux autres de ses publications dans mes pages Le cholestérol et Les effets secondaires des statines.

Le premier rapport, intitulé « Worse Than the Disease ? Reviewing Some Possible Unintended Consequences of the mRNA Vaccines Against COVID-193 » (Pire que la maladie ?…) a été publié en mars 2021 et faisait un état des lieux des effets secondaires assez inquiétant malgré le peu de recul à cette date sur ces vaccins. Le rapport faisant 42 pages, je vous en cite simplement la conclusion : Les vaccins expérimentaux à ARNm ont été annoncés comme ayant le potentiel de grands avantages, mais ils recèlent également la possibilité de conséquences imprévues potentiellement tragiques et même catastrophiques. Les vaccins à ARNm contre le SRAS-CoV-2 ont été mis en œuvre en grande pompe, mais de nombreux aspects de leur utilisation généralisée méritent d’être préoccupants. Nous avons examiné certaines de ces préoccupations ici, mais pas toutes, et nous tenons à souligner que ces préoccupations sont potentiellement graves et pourraient ne pas être évidentes avant des années ou même de manière transgénérationnelle.

Pour ceux que la traduction française intéresse, j’ai mis celle-ci à disposition ici (merci Google Trad…). Je préfère vous prévenir tout de suite, même en français c’est extrêmement ardu à lire…

Le deuxième rapport4 est beaucoup plus récent (janvier 2022), est en version « preprint » (c’est-à-dire qu’il n’a pas encore été descendu par des éminents professeurs grassement payés par les labos et chargés de dénigrer tout ce qui peut porter préjudice au business de ces derniers !) et fait le point sur toutes les études portant sur les effets secondaires du vaccin. Là aussi, il y a de quoi être inquiet avec les effets secondaires déjà constatés (myocardites, péricardites, syndrome de Guillain-Barré, Zonas, etc.) mais aussi ceux prévisibles à plus ou moins long terme (augmentation des cancers, des maladies neurodégénératives, perte d’immunité face aux diverses infections, etc.).

Pour faire court, je passe directement à la conclusion : Il est impératif que l’administration mondiale des vaccinations par ARNm soit arrêtée immédiatement jusqu’à ce que d’autres études soient menées pour déterminer l’étendue des conséquences pathologiques potentielles décrites dans cet article. Il n’est pas possible que ces vaccinations soient considérées comme faisant partie d’une campagne de santé publique sans une analyse détaillée de l’impact humain des dommages collatéraux potentiels. Il est également impératif que le VAERS et les autres systèmes de surveillance soient optimisés pour détecter les signaux liés aux conséquences sanitaires de la vaccination par l’ARNm que nous avons décrit. Finalement, nous n’exagérons pas en disant que des milliards de vies sont en jeu. Nous appelons les institutions de santé publique à démontrer, avec des preuves, pourquoi les questions abordées dans ce document ne sont pas pertinentes pour la santé publique, ou à reconnaître qu’elles le sont et à agir en conséquence. Jusqu’à ce que nos établissements de santé publique fassent ce qui est juste à cet égard, nous encourageons tous les individus à prendre leurs propres décisions en matière de soins de santé avec cette information comme facteur contributif à ces décisions.

Si vous souhaitez l’intégralité de ce document en français, c’est par (à l’image du précédent, une trentaine de pages plutôt rébarbatives à lire…).

La dernière étude, publié par Patrick E. Meyer de l’université de Liège5 utilise une approche différente. En croisant les données de mortalité toutes causes avec les données sur les vaccins provenant de bases de données publiques européennes, l’auteur a comparé l’impact sur la mortalité de deux variables, à savoir dose de vaccin et cas de Covid. En utilisant des stratégies classiques d’apprentissage automatique et de modèles graphiques, il a été en mesure d’évaluer les hypothèses contradictoires concernant l’effet des vaccins sur la mortalité toutes causes confondues.

Sa conclusion plutôt intéressante : En conséquence, jusqu’à ce qu’une meilleure variable prédictive soit trouvée, nos résultats suggèrent clairement que la balance bénéfices risques pour les 0-44 ans n’est pas en faveur de ces vaccins COVID-19.

Autrement dit, la mortalité induite par la vaccination annule largement les effets bénéfiques de cette dernière.

Ou pour le dire clairement et simplement : la vaccination contre le Covid ne sert à rien pour une grosse partie de la population ! (enfin, si… à engraisser Pfizer et consorts…).

Donc les labos ont menti sur les résultats de leurs essais cliniques6, on nous ment sur les effets secondaires, on nous ment sur l’efficacité de ce pseudo-vaccin qui finalement n’en est pas un (même Delfraissy le reconnaît7…), on nous ment aussi sur la mortalité due au Covid, l’encombrement des hôpitaux par les malades du Covid et les non-vaccinés qui encombrerait les services d’urgences8.

Bref, tout ceci commence à faire beaucoup de mensonges…