COVID-19 : Coup de gueule d’un apatride !

Apatride, car suite aux propos nauséabonds de notre président (qui n’en est d’ailleurs pas coup d’essai¹…), j’ai l’immense regret de vous annoncer que non seulement je suis devenu une « merde », mais en plus, je ne suis plus un citoyen français…

Un tel énergumène aussi dédaigneux et arrogant ne méritant que du mépris, lui répondre sur ce même ton m’obligerait à me rabaisser à son niveau. Je vais donc me contenter de rester très factuel et de rappeler quelques faits dont tout vacciné devrait avoir connaissance concernant ce pseudo-vaccin » :

• Les vaccins ARN sont expérimentaux. En effet, ce sont les premiers produits de ce type à être mis sur le marché. Une seule spécialité vétérinaire a dépassé les phases d’essai, mais aucune autre tentative sur les humains n’est allée au-delà de la phase 1. Donc, nous avons en conséquence bien affaire à un vaccin expérimental².
• D’autant plus que celui-ci a été mis sur le marché dès la fin de la phase 2, après une procédure d’AMM accélérée, qui faisait elle-même suite à des essais de phase 2 bâclés (pas de double aveugle et vaccination pour finir des sujets ayant reçu le placebo³), sans compter les documents récemment publiés qui démontrent que Pfizer a volontairement menti sur la  quantité et la gravité des effets secondaires⁴.
• Pfizer qui a d’ailleurs été condamné 71 fois depuis 2000 pour mensonges, usage de faux, mise en danger de la vie d’autrui, pratiques commerciales trompeuses et j’en passe⁵.
• Les effets secondaires à longs termes n’ont bien évidemment pas pu être testés (c’est d’ailleurs précisé dans les comptes rendus des labos…), ce qui est quand même regrettable pour un produit que nos dirigeants souhaitent inoculer à la population mondiale.
• La phase 3 des essais clinique a été totalement occultée. Et que l’on ne vienne pas me dire que la pharmacovigilance est là, blablabla. Vu que l’on peut légitimement se demander où était passée cette pseudo-pharmacovigilance lors de l’affaire Mediator, de la Depakine ou encore du Levothirox en France. Idem pour la FDA lors de l’affaire du Vioxx aux USA. Et pour ne citer que les cas les plus récents et connus…
• Le produit est inefficace à prévenir la contagion. Il n’y a qu’à constater ce qui se passe par exemple en ce moment à Gibraltar où malgré l’ensemble de la population vacciné, (107 % de la population vaccinée et 80 % ayant reçu une 3ᵉ dose) le nombre de contaminations explose. Idem en Israël (71 % et 46 % de 3ᵉ dose), au Royaume-Uni (76 % et 50 % de 3ᵉ dose) ou encore au Danemark (83 % et 50 % de 3ᵉ dose) ou au Portugal (90 % et 31 % de 3ᵉ dose) et ce ne sont pas les seuls⁶…
• Ce produit étant inefficace à prévenir la contagion, pourquoi à tout prix vouloir l’injecter aux enfants, adolescents ainsi qu’à toute personne en bonne santé qui, en tout état de cause, ont moins de risque de mourir du Covid que de subir un effet secondaire grave, voire mortel dû à ce vaccin ?

Il est donc scandaleux, au vu de tous ces éléments, de faire porter le chapeau aux seuls non-vaccinés, alors que la saturation des hôpitaux est surtout due aux politiques de réduction de ceux-ci par les gouvernements depuis plusieurs décennies. Je rappelle qu’en 2020, en pleine épidémie, l’état a fait fermer 500 lits (et 17 900 en 4 ans !)⁷ et qu’actuellement 20 % des lits sont fermés par manque de personnel soignant.
Personnel soignant que ce gouvernement a d’ailleurs maltraité à coup de gaz lacrymogène, de matraque ou de LBD alors qu’ils manifestaient de leur ras-le-bol ainsi que pour une revalorisation et une meilleure reconnaissance de leurs métiers. De même avec la mise au rancart du personnel non-vacciné, même testé, tandis que maintenant, il est demandé au personnel vacciné de venir travailler même avec le Covid et donc contagieux (mais attention, en respectant bien les gestes barrières…).

Sans compter que vouloir absolument vacciner l’ensemble de la population avec un pseudo-vaccin qui ne fait même pas le taf commence à devenir inquiétant. Par curiosité, je vous conseille cette analyse non dénuée de pertinence : Nous, non-vaccinés, ce groupe témoin que Big Pharma doit éliminer coûte-que-coûte

Ah, une dernière chose, cerise sur le gâteau, le futur « Pass vaccinal » ne sera plus limité dans le temps⁸, le gouvernement envisage donc de le faire durer ad vitam æternam, avec toutes les inquiétudes que cela comporte quant à son usage futur⁹.