COVID 19 : Bientôt la sortie du tunnel ? Rien n’est moins évident (2)…

Il y a quand même beaucoup d’inconnus au sujet des vaccins. Beaucoup trop.

Certes, ceux-ci réduisent la gravité de la maladie, ce qui est plutôt une excellente chose, mais il reste encore pas mal de zones d’ombre.

En l’état actuel des connaissances, nul ne peut dire quelle peut être la durée d’immunisation. 6 mois ? 1 an ? Plus ? Devra-t-on renouveler la vaccination tous les 6 mois ou tous les ans ? Si tel est le cas et au vu du bordel ambiant, j’espère que l’expérience acquise grâce aux errements actuels seront profitables. Ce dont on peut douter fortement, les lois du marché dominant le monde et les hommes politiques étant tout sauf des visionnaires.

De même, l’utilisation du conditionnel concernant l’efficacité des vaccins sur les nouveaux variants n’est pas de nature à rassurer qui que ce soit. À tel point que Pfizer envisage une troisième vaccination de rappel¹ en attendant la mise au point de vaccins adaptés contre ces nouveaux variants. Même son de cloche chez Moderna², ce qui signifie clairement qu’il y a de gros doutes sur ce sujet : allons nous avoir droit à des doses de rappel à chaque apparition de nouveaux variants dont actuellement une douzaine circulent³ ? Et je n’épiloguerai pas sur le vaccin d’Astra-Zeneca complètement à la ramasse⁴ qui, de plus, entraîne parfois la mort de personnes jeune, en bonne santé et souvent de sexe féminin. Certes, ces décès ne sont pas monnaie courante, mais que penser d’un traitement administré sur une personne en pleine forme qui n’aurait peut-être jamais attrapé le Covid, et qui se retrouve brutalement rayée du monde des vivants. On peut aussi sérieusement se poser la question de l’étude des effets secondaires des médicaments, les études de ce produit n’ayant fait remonter aucune information de ce type…

Concernant l’efficacité des vaccins sur les possibilités de réinfection ou de transmission du virus, il n’y a toujours pas de preuves sur ce sujet. Une étude est parue à ce jour concernant le vaccin de Pfizer⁵, mais celle-ci comporte plusieurs point nébuleux :

1. Il est reconnu dans l’étude que la conception de celle-ci pourrait avoir entraîné une sous-estimation des cas asymptomatiques, et donc produire des résultats surestimés.
2. L’étude a été conduite conjointement par Pfizer et le ministère de la Santé israélien. L’étude n’a toujours pas été validée et ni le ministère de la Santé, ni Pfizer n’ont souhaité s’étendre sur le sujet⁶. Sans vouloir être négatif, ce ne serait pas la première fois qu’un gouvernement ment pour ne pas perdre la face. Quant aux labos (y compris Pfizer), les nombreux procès qui leur collent aux basques prouvent que leur propos ne sont pas toujours à prendre pour argent comptant⁷…
3. C’est une étude prospective, du type même de celles dont les labos ne se privent pas de critiquer (relation ne veut pas dire causalité…) lorsque celles-ci dénigrent leurs produits, comme pas exemple pour le vaccin d’Astra-Zeneca et les cas de thromboses !
4. Pour finir, une personne récemment vaccinée a demandé au juge des référés du Conseil d’État de suspendre les restrictions de déplacement prises par le gouvernement afin qu’elles ne s’appliquent plus aux personnes vaccinées⁸. La réponse de ce dernier (que l’on peut difficilement qualifier de complotiste…) a été sans équivoque : « Bien que la vaccination assure une protection efficace, le juge des référés relève que les personnes vaccinées peuvent être porteuses du virus et contribuer à sa diffusion dans des proportions qui ne sont aujourd’hui pas connues. »

Bref, l’humanité n’est pas près de retrouver une vie normale avant un certain nombre d’années !

Et ce n’est surtout pas les déclarations de notre spécialiste épidémiologiste autoproclamé⁹ qui vont rassurer, ses précédentes prédictions ayant, hélas, fait un flop monumental¹⁰.

D’ailleurs à ce propos (et si vous appréciez l’humour un tantinet décalé…) je vous conseille ce fil twitter : #EmmanuelMacronFacts