Augmentation de la mortalité en 2021-2022

Il y a quelques mois, une fidèle lectrice de mon blog (merci, Brigitte 🙂 ) m’avait demandé si je pouvais trouver des informations sur l’augmentation de la mortalité constatée lors de la période 2021-2022. Les quelques recherches effectuées ne m’avaient pas fourni de réponses vraiment satisfaisantes.

Le site de l’Insee rapportait effectivement 53 800 décès de plus qu’attendus pour cette période¹. Les raisons invoquées étant deux épisodes de grippe tardifs, une canicule et des reports d’opération ainsi qu’une baisse des dépistages.

Le plus inquiétant était une augmentation de la mortalité des personnes de moins de 15 ans (+6 %), alors qu’elle était inférieure en 2021 (– 3 %). Entre 15 et 34 ans, la surmortalité s’est aussi nettement accrue (+10 %, contre +3 % en 2021) ; elle a également augmenté, dans une moindre mesure, chez les 35-54 ans. Mais là aussi, pas d’explications satisfaisantes.

Sur ce site, j’y ai bien trouvé mention d’un rapport plus complet sur ce sujet émis par le CépiDc (je m’étais servi des données de ce site pour mon article sur l’inefficacité du vaccin contre la grippe²). Hélas, bien que ce dernier soit un organisme public financé par nos impôts, les données ne sont plus en libre accès (tout du moins pour le commun des mortels…).

J’avais donc mis cette question en attente jusqu’à ce que je tombe sur un rapport publié en 2023 et qui faisait état d’une surmortalité en Allemagne pour la période 2020-2022³.

Comment ça ? Nous ne serions pas un cas isolé ?

Pour faire synthétique, celui-ci fait la constatation d’une augmentation de la mortalité de +0,4 % en 2020, de +3,4 % en 2021 et de +6,6 % en 2022. Fait troublant, elle démontre aussi une corrélation claire entre la hausse de la surmortalité et l’augmentation des vaccinations covid-19 en Allemagne. Les divers graphiques présentés étant suffisamment explicites sur ce sujet…

Mais ce n’est pas tout, une autre étude à découvert la même corrélation en étudiant les données de 17 pays de l’hémisphère sud, parmi les plus représentatifs et représentant 9,10 % de la population mondiale et 10,3 % des injections mondiales de covid-19⁴.

En voici un bref résumé :

• Dans tous les pays étudiés (Afrique du Sud, Argentine, Australie, Bolivie, Brésil, Chili, Colombie, Équateur, Malaisie, Nouvelle-Zélande, Paraguay, Pérou, Philippines, Singapour, Suriname, Thaïlande, Uruguay), il y a une transition vers une augmentation de la mortalité à partir du moment où les campagnes de vaccination COVID-19 ont été déployées.
• Aucune mortalité excédentaire n’est détectable entre la déclaration de pandémie faite par l’OMS le 11 mars 2020 et le début des campagnes de vaccination COVID-19 dans 9 des 17 pays étudiés.
• Des pics anormaux de mortalité sont observés en janvier-février 2022, lors de la saison estivale des pays de l’hémisphère sud, de manière synchrone ou suivant le déploiement des doses de rappel, dans 15 des 17 pays étudiés.
• La mortalité excédentaire pendant la période vaccinale (de janvier 2021 à la date à laquelle les données s’arrêtent par pays) est de 1 745 000 décès pour les 17 pays étudiés, ce qui correspond à environ 1 décès sur 800 injections.
• Le taux de létalité par injection du vaccin augmente de façon exponentielle avec l’âge, et atteint près de 5 % chez les plus de 90 ans soumis à un 4ᵉ rappel.

Troublant, n’est-ce pas ?

On peut aussi découvrir d’autres motifs d’inquiétude sur la sécurité des vaccins contre la covid : l’intégration dans le génome des cellules humaines normales de l’ADN plasmidique des vaccins ARNm⁵, l’augmentation de la synthèse des IgG4 due à une vaccination répétée par ADNm avec des concentrations élevées d’antigènes qui peut également provoquer des maladies auto-immunes et favoriser la croissance du cancer et la myocardite auto-immune chez les sujets sensibles⁶.

Affaire à suivre…