Ce cardiologue est… comment dire… un parfait abruti. Et encore je suis poli !

Un monsieur dont j’ai fait connaissance depuis peu (et oui, là où je m’entraîne, je suis le confident de tous les problèmes de statines, de cholestérol, etc.) m’a raconté l’anecdote suivante : à la suite de problèmes cardiovasculaires ayant imposé la mise en place de stents, il s’est vu prescrire bien évidemment des statines. Hélas pour lui, celles-ci lui ont provoqué non seulement douleurs et crampes, mais aussi une faiblesse musculaire au niveau des membres inférieurs à un point tel qu’il lui arrivait régulièrement de s’écrouler en pleine rue, ses jambes ne le supportant plus.

Où l’on reparle des inhibiteurs de la CETP

Je croyais que les inhibiteurs de la CETP (chargés d’augmenter le cholestérol HDL et de diminuer légèrement le cholestérol LDL) étaient définitivement morts et enterrés. Il faut dire que tous les essais de cette molécule ont été, au mieux négatifs, au pire catastrophique (augmentation conséquente de la mortalité).